 De la dépouille de nos bois, L'automne avait jonché la terre : Le bocage était sans mystère, Le rossignol était sans voix. Triste et mourant, à son aurore Un jeune malade, à pas lents, Parcourait une fois encore Le bois cher à ses premiers ans....  Bulletin - Page 886by Société royale forestière de Belgique - 1896Full view - About this book
 | Charles Millevoye - 1823 - 314 pages
...ÉLÉGIES. LIVRE PREMIER. LA CHUTE DES FEUILLES. UE la dépouille de nos bois L'automne avait jonché la terre ; Le bocage était sans mystère, Le rossignol était sans voix. Triste , et mourant à son aurore , Un jeune malade à pas lents , Parcourait une fois encore Le bois... | |
 | Charles Hubert Millevoye - 1833 - 412 pages
...quelques cbangemens. Voici la première version : De la dépouille de nos bois L'automne avait jonché la terre ; Le bocage était sans mystère , Le rossignol était sans voix. Triste , et mourant à son aurore , Un jeune malade, à pas lents , Parcourait une fois encore Le bois... | |
 | 1834 - 784 pages
...Millemye. The Fall of the Leaves. By Millevoyt De la dépouille de поs bois L'automne avait jonché la terre, Le bocage était sans mystère, Le rossignol était sans voix. Triste et mourant à son aurore, Un jeune malade, à pas lents, Parcourait une fois encore Le bois... | |
 | French literature - 1835 - 488 pages
...mémoire ! ' LAMARTINE. LA CHUTE DES FEUILLES. De la dépouille de nos Lois L'automne avait jonché la terre, Le bocage était sans mystère , Le rossignol était sans voix. Triste, et mourant à son aurore , Un jeune malade a pas lents , Parcourait une fois encore, Le bois... | |
 | 1835 - 344 pages
...pas. THOMAS. Pttréide. LA CHUTE DES FEUILLES. DE la dépouille de nos bois, L'automme avait jonché la terre : Le bocage était sans mystère, Le rossignol était sans voix. Triste et mourant, à son aurore, • Un jeune malade, à pas lents, Parcourait une fois encore Le... | |
 | Patrice-François-Marie Cruice - Epic poetry - 1840 - 406 pages
...extrêmement touchante. LA. CHUTE DES FEUILLES. De la dépouille de nos bois L'automne avait jonché la terre : Le bocage était sans mystère, Le rossignol était sans voix. Triste et mourant, à son aurore, Un jeune malade, à pas lents, Parcourait une fois encore Le bois... | |
 | Elisa Mercœur - Authors, French - 1843 - 730 pages
...la vérité se montrait nue et terrible. « De la dépouille de nos bois « L'automne avait jonché la terre , « Le bocage était sans mystère, « Le rossignol était sans voix.... » . • ' Elle continua; sa voix, calme d'abord, devint tremblante, entrecoupée; son visage se contracta,... | |
 | G. H. F. de Castres de Tersac - French language - 1843 - 408 pages
...mütbigcn gemußt. — IM Chute Лев Veuilles. De la dépouille de nos bois L'automne avait jonché la terre; Le bocage était sans mystère, Le rossignol était sans voix. Triste, et mourant à son aurore, Un jeune malade à pas lents, Parcourait une fois encore Le bois... | |
 | Bernard Jullien - French poetry - 1844 - 498 pages
...changements qui n'étaient pas toujours heureux. De la dépouille de nos bois L'automne avait jonché la terre : Le bocage était sans mystère, Le rossignol était sans voix. Triste et mourant à son aurore, Un jeune malade à pas lents Parcourait une fois encore Le boU cher... | |
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