Revue internationale, Volume 61885 |
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Popular passages
Page 117 - ... sans distinction de nationalités ni de cultes, toutes les institutions et entreprises religieuses, scientifiques ou charitables créées et organisées à ces fins ou tendant à instruire les indigènes et à leur faire comprendre et apprécier les avantages de la civilisation.
Page 517 - Ne mêle plus tes pleurs aux flots impurs du Nil : Le Jourdain va t'ouvrir ses rives. Le jour enfin approche où vers les champs promis Gessen verra s'enfuir, malgré leurs ennemis, Les tribus si longtemps captives. « Sous les traits d'un enfant délaissé sur les flots. C'est l'élu du Sina, c'est le roi des fléaux , Qu'une vierge sauve de l'onde. Mortels, vous dont l'orgueil méconnaît l'Éternel, Fléchissez : un berceau va sauver Israël, Un berceau doit sauver le monde !
Page 514 - O temps ! suspends ton vol ; et vous, heures propices ! Suspendez votre cours : Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours!
Page 514 - Si je pouvais laisser ma dépouille à la terre, Ce que j'ai tant rêvé paraîtrait à mes yeux ! Là, je m'enivrerais à la source où j'aspire ; Là, je retrouverais et l'espoir et l'amour, Et ce bien idéal que toute âme désire, Et qui n'a pas de nom au terrestre séjour...
Page 117 - Définition des formalités à observer pour que des occupations nouvelles sur les côtes d'Afrique soient considérées comme effectives.
Page 453 - E se ben ti ricordi e vedi lume, vedrai te simigliante a quella inferma che non può trovar posa in su le piume, ma con dar volta suo dolore scherma.
Page 466 - La pauvreté des incapables, la détresse des imprudents, l'élimination des paresseux et cette poussée des forts, qui met de côté les faibles et...
Page 517 - Des anges, devant Dieu de leurs ailes voilés, Chanter les lyres éternelles. « Ne gémis plus, Jacob, sur la terre d'exil; Ne mêle plus tes pleurs aux flots impurs du Nil ; Le Jourdain va t'ouvrir ses rives. Le jour enfin approche où vers les champs promis Gessen verra s'enfuir, malgré leurs ennemis, Les tribus si longtemps captives. t Sous les traits d'un enfant délaissé sur les flots, C'est l'élu du Sina, c'est le roi des fléaux, Qu'une vierge sauve de l'onde.
Page 570 - Je dédie ce livre au rocher d'hospitalité et de liberté, à ce coin de vieille terre normande où vit le noble petit peuple de la mer, à l'île de Guernesey, sévère et douce, mon asile actuel, mon tombeau probable.
Page 524 - Mon vieil ami, ne nous séparons pas. T'ai-je imprégné des flots de musc et d'ambre Qu'un fat exhale en se mirant ? M'at-on jamais vu dans une antichambre T'exposer au mépris d'un grand ? Pour des rubans la France entière Fut en proie à de longs débats; La fleur des champs brille à ta boutonnière: Mon vieil ami, ne nous séparons pas. Ne crains plus tant ces jours de courses...